mercredi 29 juillet 2009

Nuance qui a son importance.

Je n'en ai pas encore parlé mais il y a une différence à faire entre les bobos à court terme et les bobos à plus long terme.

Explication :

J'entends par court terme des douleurs, des états de l'organisme, qui apparaissent mais ne dure que quelques heures ou quelques jours. Je pense par exemple aux crampes qui surgissent sans crier gare, aux colliques que l'on arrive pas à expliquer mais qui vous cloue au lit, aux heures où on n'arrive pas à se réchauffer...

En opposition à ces crises contenues dans le temps, je suis confronté à des pathologies qui ne se résolvent pas en deux temps, trois mouvements. C'est le cas notament des allergies alimentaires, du vieillissement de ma masse musculaire, des problèmes neurologiques qu'il faut surveiller souvent.

En outre, les uns ont des conséquences sur les autres et c'est souvent en ne prenant pas au serieux un ennui que l'on nourrit un mal plus long à tuer. Il n'est pas rare qu'à partir d'un ras le bol de me nourrir de mets qui me sont dictés par mes allergies, je réduise mes repas. Un dérèglement intestinal et une perte d'énergie apparaissent qui mettront des mois avant de revenir à une envie de bien manger. Malaises, fatigue et froid (plus intensément ressenti que d'habitude) deviennent alors mon quotidien. Ce sont des périodes récurentes (2 à trois fois par an) qui demande énormément de volonté pour enrayer ce processus destructeur.

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