dimanche 30 juin 2013

Tout a une fin !!!

Voilà ! Une semaine de vacances, ça passe vite. Me voici donc de retour parmi vous.

Je ne peux pas dire que cela n'a pas servi mais ce n'est pas tout à fait ce que j'avais imaginé. J'avais pensé qu'une fois là-bas, je ne ferais rien d'autre que me reposer et qu'au bout du compte, cela porterait ses fruits. je me suis imaginé que j'allais revanir presqu'en forme et qure je pourrais de nouveau conquérir des sommets.

RATé !!!!!!!

Certes, je n'ai rien fait. Je me suis contenter d'écrire et de faire des siestes (plusieurs chaque jour). Je me suis laissé porter par ce que me demandait mon corps. je ne me suis pas battu contre lui. Au moindre signe de fatigue, je me glissais sous les draps frais et la chaude couverture de laine et m'endormais après seulement quelques minutes. Et quand je m'éveillais, je me levais tranquillement après avoir pris le temps de me réveiller sans me presser. Entre les pauses, j'arrivai à mieux profiter de ma famille. Mais cette manière de procéder ne peux s'adapter à la vie de tous les jours. alors, c'est à regret que je reviens à un rythme qui me conviens moins bien. C'est la vie !!!

Enfin, même s'il n'a pas fait plus chaud que cela dans le centre de l'Italie, nous avons eu du beau temps toute la semaine à l'exception de deux épisodes pluvieux très intenses. là, la tempéture est passée de 25 à 14 degrés (oui, 14 : c'est la température des meilleures après-midis d'hiver) !

Je suis content de vous retrouver à traver ce blog. Bon dimanche à toutes et tous.

jeudi 20 juin 2013

Un peu de vacances

Le mot de ce soir sera le dernier avant le 1er juillet. En effet, je vous quitte un moment. Non, rassurez-vous, ce n'est que passager, je pars me reposer une semaine dans ce beau pays qu'est l'Italie.

Là-bas, ma femme y a sa famille. Nous allons donc les visiter et prendre un repos mérité tant pour elle que pour moi, même si je ne fais plus grand-chose. Pendant cette semaine, je ne pense pas courrir les routes mais plutôt me reposer et profiter d'être loin de ma maison pour ne plus penser à tous ces tracas qui font mon quotidien. Profiter sera le maître mot !


Mais rassurez-vous, profiter et me reposer ne signifie pas rester inactif. J'en suis parfaitement incapable. Alors, j'emporte dans ma valise de la lecture (les maîtres du pain et le dernier Dan Brown) et aussi mon manuscrit. Il me parait difficile de me passer d'écriture. C'est comme un besoin, quand je n'écris pas deux jours, mon cerveau tourne en boucle et propose seul des idées de textes. Il faut bien les écrire pour ne pas les perdre à jamais.

Alors, je vous souhaite à toutes et tous un bon weekend et une bonne semaine. Je vous raconterai tout à mon retour. Prenez soin de vous.

mardi 18 juin 2013

Vive le thé chinois

L'autre après-midi, je crois que c'était vendredi, ma femme est revenue de son travail avec des échantillons de thé. Ce n'étaient pas des thés ordinaires mais qui avaient des vertus curatives. Il y en avait pour lutter contre le cholestérol, les graisses. ceux-là, je m'en fout complètement. Par contre, il en existe pour déstresser ou encore booster le tonus. c'est ces deux-là qui ont retenus mon attention.

J'ai donc commencé une première cure d'un mois de ce thé qui est censé abaisser le niveau de stress. Ce n'est pas compliqué puisqu'un mois durant, je dois boire 200 ml de thé par jour. Je ne sais pas si c'est efficace mais bon, cela ne pourra pas me faire plus de mal. Et puis, cela va m'occuper. J'ai besoin de ce genre d'occasions pour rythmer ma vie et y trouver des motivations pour continuer. On verra bien dans un mois.

Le mois prochain, je ferai une cure à base de celui qui booste l'énergie. Ainsi, si ça donne quelques résultats, j'alternerai ces breuvages curatifs tout au long de l'année. Deux fois par an, au changement de saison, je ferai deux mois de cure d'un thé qui renforce les défenses naturelles. Avec tout ça, je devrais péter la forme. Non ???

Connaissez-vous ces cures ??? En avez-vous vous-même fait ??? N'hésitez pas à m'en parler et me donner votre sentiment.

samedi 15 juin 2013

Mon Dieu, que c'est bon !

Hier, je vous disais mon doute quant au fatidique coup de fatigue de 10h30. Hier, il ne s'est pas manifesté. Merci mon Dieu de m'avoir accordé ce répit. Hier a été une journée comme je n'en ai pas connu depuis des mois. J'ai pu faire plusieurs choses que j'avais en retard et dans l'après-midi, je suis même allé faire quelques courses avec ma bien-aimée. Je n'ai pas été fatigué du tout et le soir le sommeil est venu tout naturellement vers 23h30.

jeudi 13 juin 2013

13 juin 2013

Je voulais écrire cet article hier soir, pour rester dans le jus de cette journée de malheur mais Internet en a décidé autrement. Plus de réseau à partir de 21h30 ! Donc, ce sera pour ce matin...


Hier, après deux journées de grosse fatigue, je me suis levé à peu près bien. j'étais content parce qu'enfin, j'allais pouvoir avoir un peu d'activité. Depuis deux jours, j'en étais incapable. Le moindre mouvement me demandait trop d'effort, la moindre concentration ne débouchait sur rien. C'était du passé !


C'est vers 10h30 que ça m'est retombé dessus, sans crier gare et de manière intense. en quelques minutes, mon cerveau s'est "engourdi" et a envoyé un message comme quoi, il arrêter de fonctionner. Impossible de penser, impossible de me déplacer. Mes 4 membres sont devenus extrêmement lourds. Très compliqué de continuer comme ça. J'ai fini par capituler et aller m'allonger sur le divan. Je me suis endormi.

Dans la journée, cette crise de fatigue ne m'a pas quitté. Je me suis relevé de ma "pause" à midi. Quand j'ai eu terminé ma matinée de travail officiel, à 13h10, je me suis recouché au même endroit. je ne me suis relevé qu'après 17h. Hier soir, à 21h30, il n'y avait plus personne !

Ces trois jours invivables font remonter en moi plein de questions. J'ai l'impression de revenir aux heures les plus difficiles que j'ai vécues il y a quatre ans. Je me demande ce matin comment va se dérouler ma journée. j'appréhende le milieu de matinée. Deux heures le matin et deux ou trois le soir, ce n'est pas vraiment une vie.

mardi 11 juin 2013

10 et 11 juin 2013

Deux jours que ça dure. deux jours que je me lève le matin complètement épuisé. Au début, je me suis dit que j'étais mal réveillé, comme si je voulais me cacher la vérité. Mais ce n'est pas cela. C'est comme si je ne m'étais pas couché depuis une semaine entière.

Ce matin, je n'ai pas pu travailler et même en cours de matinée, je me suis endormi quelques minutes. J'ai un peu honte, en fait, mais je me dis en même temps que là-bas, ils sont au courant et que, quoi que je fasse, je ne peux pas lutter très longtemps.

Je suis rentré chez moi vers 15h30 et je me suis couché de suite. Pas de passage par le web, j'en étais incapable. Ce soir, à l'heure où je tape cet article, c'est migraine et corps qui pèse des tonnes. c'est difficile, parfois de vivre.

samedi 8 juin 2013

8 juin 2013

A partir de ce soir, je vais indiquer une liste des maux qui ont jalonnés ma journée. Ce n'est pas simplement pour le plaisir d'en faire une liste. Jour après jour, cet exercice va me permettre de voir à quelle fréquence et à quels moments de la journée ils apparaissent.

Aujourd'hui, même si je suis fatigué, la journée a été gérable. Elle avait pourtant mal commencé.

- Migraine : dès le lever. Elle a durée jusqu'à midi et a repris vers 18h. Le pense qu'elle est en partie due à un pincement des cervicales.

- Une contracture derrière la cuisse gauche est apparue vers 10h. elle m'empêche de marcher. En général, il y en a pour plusieurs jours avant de la voir s'en aller.

- Dans l'après midi, des aigreurs d'estomac et des remontées acides m'ont réveillé de la sieste. c'est très désagréable.

A cause de la pluie et de l'humidité, j'ai plus toussé et j'ai été obligé de faire une Ventoline de plus, vers 17h.


Voilà pour aujourd'hui. il n'est pas encore 19h mais j'espère qu'il n'y aura rien d'autre.

mercredi 5 juin 2013

je ne sais pas quel titre mettre !

Il y a des personnes qui, il y a peu, m'ont fait comprendre que beaucoup de mes difficultés étaient dans ma tête. Je les ai laissé dire tout en me demandant comment leur faire comprendre, comment les placer au plus près de MA réalité. C'est difficile de se mettre à la place des gens. Je m'en rends compte. Alors, une dernière fois, je tente de vous le faire toucher du doigt. Je m'en excuse par avance auprès de ceux qui lisent mes articles et connaisses aussi des conditions analogues voire pires si cela est possible.

Ma vie est donc rythmée par plusieurs sources de problèmes et à chacune d'elles, mon corps s'exprime de plusieurs façons.

  • Le stress (bonne ou mauvaise nouvelle, imprévus, choses à faire qui semblent très vite insurmontables)
      • Froid dans le corps comme si j'étais nu dehors en plein hiver
      • Coups de fatigue qui me clouent littéralement sur place


  • L'insuffisance musculaire due au Syndrome de Little
      • Crampes dans les jambes, les pieds, les bras et les mains
      • Activité physique de toute nature impossible.
      • Épuisement constant.

  • Ablations de la vésicule et l'appendice
      • Diarrhée constante
      • Envies d'uriner plus fréquentes et moins contrôlables
      • Ventre sensible et souvent glacé

  • Poumons (pneumopathie)
      • Toux jour et nuit
      • Mouche du sang
      • Glaires
      • Vomissements


Mélanger tout cela 24h/24 et vous obtenez un choix de vie dicté par tout cela. Cet état général génère des hauts et des bas dans le niveau de moral. Parfois, j'arrive à le surmonter et à me dire que j'ai connu bien pire mais la plupart du temps, je me dis qu'il n'est pas bon de me raconter des histoires et je prends conscience de cette lutte de tous les instants contre des adversaires qui, à la fin, seront trop forts pour moi.

samedi 1 juin 2013

Oups

Je suis désolé pour les commentaires qui avaient été postés hier. une fausse manipulation à partir d'un outil externe me les a fait supprimer. je sais maintenant comment s'appelle cette fonction : "Touche pas à ça, p'tit con" !

Instant de bonheur

Hier après-midi, il faisait beau de par chez moi. J'ai pris ma nouvelle chaise longue, à bascule (le luxe), j'ai trouvé un coin bien à l'abri du vent et je me suis installé. Là sous ma grosse couverture, chauffé par les rayons bienfaisant du soleil tant attendu, je me suis endormi.

Entre deux petits sommes, cette façon de se retrouver à faire la sieste dehors m'a ramené bizarrement 40 ans (et oui, c'était en 1973) en arrière. Tous les étés de cette époque-là, j'étais envoyé trois mois en colonie sanitaire (médicalisée). Les journées dans ce village de Savoie étaient préciséments réglées. Tous les après-midi, après un repas fait pour nous redonner quelques forces, nous devions aller nous coucher deux heures sur des lits de camps installés sous les arbres. c'était incontournable et il n'y avait que si vraiment il pleuvait trop et que les arbres ne nous protégeaient plus suffisament que nous la faisions à l'intérieur. Alors, sur ces lits de camps, bien couverts sous une épaisse couverture et dans un gros pullover, nous nous endormions, épuisés par la marche du matin et en prévision de celle de la fin de l'après-midi.

Hier, pendant un long moment, je me suis retrouvé à 6 ou 7 ans, sous ces grands arbres, à la montagne et je me suis trouvé bien. Et puisque les médecins m'ont ordonné de me mettre au soleil pour guérir une insuffisance en vitamine D, je compte respecter leur prescription et passer toutes mes siestes dehors, comme l'enfant que j'étais alors.